Nous vivons en ce moment beaucoup de fins de cycle. Peu importe la spécialité ésotérique, tout le monde s’accorde pour dire que la fin de quelque chose est proche. Le système tel qu’on le connaît ne peut pas durer. Un paquet d’humains s’éveillent tranquillement aux quatre coins du monde. Certains trouvent ça plus dur que d’autres. C’est normal. La fin fait mal. Personne n’aime ça. Pas plus que le changement d’ailleurs. Surtout s’il est brutal.

Je ne connais pas les tenants et aboutissants de cette fameuse fin. Les infos que je glane par-ci par là me permettent toutefois de dire que c’est une histoire de changement de fréquence. Comme à la radio quand tu changes de poste, ça griche pendant un moment, avant de pogner le prochain poste. Donc en ce moment, ça griche. Tout sur Terre n’est qu’histoire de fréquence. La matière que tu touches n’est qu’un amalgame d’électrons qui entrent en collision et qui émettent des fréquences. Le temps que tu mesures aussi n’est que fréquence. Tout est fréquence.

Et donc, un medium clair voyant ne fait que capter des fréquences que lui seul arrive à capter. Moi, dans ma grande complexité, je capte des fréquences d’en haut assez facilement, en tout cas pour ma très jeune expérience. Et je dois apprendre à capter les fréquences d’en bas, les fréquences du corps, les fréquences de la Terre. Les fréquences des cinq sens. Les fréquences des animaux, des arbres, de l’air et de la terre meuble. Pour rester ancrée solidement dans mon corps.

Chaque cycle que nous vivons connaît sa fin. Une journée, une semaine, un mois, une lune, une année. 13 lunes. 9 années. La mort est un cadeau de la vie car elle est la fin qui permet le changement. Chaque journée nous vieillissons et chaque soir nous mourrons un peu plus. Nous acceptons cela assez facilement (quoique) alors pourquoi n’acceptons-nous pas de changer, de mourir et nous offrir à chaque fin de cycle.

Les fêtes de fin d’année marquent, littéralement et sans surprise, la fin de l’année. L’occasion de se retirer en nous, se recentrer sur qui nous sommes en vérité, se pardonner nos déceptions et célébrer nos réussites, de nous à nous. Et que faisons-nous pourtant en cette période de l’année ? Des excès. Excès de dépenses, excès d’alcool, de nourriture trop riche, et surtout des excès de visite, de monde, d’entourage.

Se retrouver en famille est bon pour l’énergie du clan, mais ce n’est pourtant pas avec sa propre famille que l’on est prêt à se recentrer. C’est plutôt l’inverse en fait. Bref, les lumières de Noël et les sorties extravagantes sont un moyen extraordinaire de nier le besoin qu’il y a en chacun de nous de reconnecter à sa propre noirceur.

Je ne suis pas une humaine ordinaire. En fait je ne suis pas vraiment humaine. Très connectée à Dieu, à son Royaume et à tout ce qui vibre haut. C’est ce qui explique que je sois si mal ici-bas. Mais ce qui me fait sentir à ma place c’est vous, (et la Nature). Mon entourage, mes amis, mes enfants. J’ai connecté pour la première fois à une personne très proche de moi, ma cousine jumelle. L’expérience était incroyable, pour elle comme pour moi. Je crois profondément que les humains devraient tous faire ça. Et je crois même que l’heure du changement nous apportera ça. Collectivement, l’année 2026 est une année 1, propice au renouveau. Collectivement, on s’en va donc vers quelque chose de nouveau. Je souhaite du plus profond de mon cœur que ce renouveau soit un moyen de nous connecter plus intensément entre nous. Véritablement en fait. Sans masque ni secret. Comme le faisaient les premiers hommes sur Terre. Se toucher d’énergie à énergie.

Si je pouvais nous offrir un cadeau en cette fin de cycle ce serait que vous voyiez en vous ce que je vois en chaque être humain. Une formidable antenne qui capte un paquet de fréquences, belles comme beaucoup moins belles. Mais justement, le jeu de la Vie est de pouvoir choisir entre les fréquences qui nous font du bien réellement et celles au contraire qui ne nous le font pas. Et une fois nos ressentis aiguisés, que nous soyons capables, à nouveau, de nous connecter entre nous. Pour de vrai. Comme lorsque ma cousine et moi nous avons partagé nos plus profondes souffrances et nos plus belles joies.

Pendant un soin énergétique, lorsque tu autorises quelqu’un à connecter à toi, tout est partagé, il n’y a plus de masque ni de mensonges. Je crois que nous devons au genre humain cet immense cadeau que d’arrêter les faux semblants. Il me semble que tout serait plus facile, moins fatiguant.

Je viens de vivre le plus fort de tous les voyages de ma vie. Je n’avais pas particulièrement envie de partir parce qu’au fond je savais que je reviendrais différente. À jamais changée. Et c’est le cas. Pas certaine que ce soit confortable, plutôt nécessaire pour la suite du chemin. Le prochain cycle. Pas de repos pour les héros ! J’ai commencé par profiter de ma fratrie. Même si c’est parfois lourd, je sens aujourd’hui qu’intérieurement, c’est très fort la fratrie. Puis j’ai découvert mes ancêtres de Termes, mes ancêtres de Langeac. Mes clans, d’un côté comme de l’autre, ont souffert du pouvoir, celui des rois, des papes, des collabos et des nazis. Puis j’ai atterri dans les Laurentides, auprès d’un chef héréditaire algonquin qui parlait en connaissance de cause des souffrances de son propre peuple. Et moi j’arrivais avec les souffrances de mon peuple.

Et la première chose qu’il nous a dite c’est que tous les humains ont le même sang préhistorique qui coule dans leurs veines. Que dire après ça ? Oui, chaque humain de la Terre peut porter les souffrances de son clan. Mais la Terre et le Créateur (et les autres) sont là pour nous en délivrer. C’est leur cadeau. Ne l’oubliez jamais. Et si c’est plus difficile pour vous de croire que Dieu nous protège tous, tâchez de croire que la Terre, elle, le fera. Honorer ta noirceur et la confier à la Terre, chaque jour ou chaque nuit. Ce serait un bon début. Parce que la noirceur c’est ce qui fait partie de toi.

Quelqu’un m’a vue en rêve. Juste avant de partir, j’ai bien reçu le message. Elle a aussi vu mes yeux d’oiseau de proie. Comme je disais, je ne suis pas humaine. Je suis une sorte de griffon bleu, vert, mauve et autres couleurs chatoyantes et aux plumes de verre, issue d’une technologie qui dépasse de loin ce que l’on voit dans la 3D. C’est ce que je suis en haut. Je suis aussi à Son service. Me battre pour la Lumière c’est mon quotidien (en haut). J’ai porté une responsabilité qui pesait trop lourd et j’ai choisi (sans plaisir) de m’incarner pour mieux me retrouver. J’ai reçu quelques talents humains, dont celui d’écrire, afin de semer des messages de Lumière. Comment je le sais ? Parce que j’ai appris à écouter chaque signe envoyé par ceux qui me guident et me suivent de près. Ils reçoivent mes demandes chaque seconde de chaque jour depuis maintenant 2 ans. Je leur demande constamment qui je suis. Alors ils me répondent, puis le profil se dessine doucement.

Je crois que ça peut vous donner envie, vous aussi, de voir votre profil se dessiner chaque jour. Le chef héréditaire que je suis allée voir nous pose cette question à tous : qui suis-je ? qui est capable de répondre à cela sans être déçu, sans rougir ou même sans mentir ? Un millier de masques peuvent tomber et il en restera toujours. Mais puisqu’un chantier démarre toujours à un moment donné, commencer par écrire qui tu penses être peut constituer le début d’une fabuleuse histoire d’amour entre toi et toi. N’hésite surtout pas à demander autour de toi. À des médiums ou des travailleurs de l’Énergie. À demander à ceux qui t’aiment, en haut (il y en a plus que tu ne le crois). À en parler avec ton enfant intérieur. Et sois attentive aux signes et à ce qu’ils te disent. Une heure miroir ? À quoi étais-tu en train de penser à l’instant moment de cette heure miroir ? Un frisson en disant de quoi à ton amie ? Une chanson qui tourne en rond dans ta tête ? Un poème ? Qui sait, les être de lumière peuvent être très intenses quand il s’agit de répondre à une de tes questions existentielles ! Alors joue avec eux tu vas voir, ils sont TRÈS joueurs. Et ils t’entendent, beaucoup plus que ce que tu crois. Ils captent très bien ta fréquence.

Avec toute ma bienveillance, voici un poème que j’ai écris juste avant de partir en France au début du mois. Qui tentait, je crois, de me rappeler que mon corps est une antenne qui canalise les fréquences, belles et moins belles. Ton ancrage à la Terre est une clé fondamentale pour te connecter au divin, que ce soit la Terre comme le ciel.

Je suis une poubelle

Difficile d’être en moi

Tant je veux être ailleurs

Loin en haut

Je suis une poubelle

Je recycle moi-même

Mes propres déchets

Que j’enfouis en moi

Au plus profond de moi

Là où ça doit être

Pour être recyclé

Comme une offrande au peuple d’en bas

Un peuple beau, discret

Étincelant et translucide

Ils vivent parmi la roche

Au creux de la montagne souterraine

Par ma connexion à la Terre

Ils prennent ce qui n’a plus lieu d’être

Pour s’en nourrir, et le transformer

En quelque chose de beau et bon pour moi

Un jour, à nouveau

Je suis une poubelle

Je prends soin de mes propres déchets

Je les enfouis au plus profond de moi

Et les offre à ceux d’en bas, par moi

Par mon moi le plus proche d’en bas.

C’est facile, simple et léger comme tout.

La fin, c’est aussi la perte

Quelques jours après avoir écrit cette chronique, j’ai eu envie d’y rajouter quelques lignes à propos de la perte. Parce qu’une fin implique nécessairement une perte. Et c’est, je crois, précisément, ce qui nous fait mal à nous les humains. Quand c’est la perte d’un téléphone c’est embêtant mais quand c’est la perte d’un être cher, là on est ailleurs. Et lorsque l’on perd une partie de nous (intérieure ou extérieure) à cause d’un trauma ou d’un changement nécessaire, là aussi ça fait mal. Sauf que c’est ainsi que va la vie. Elle a été un cadeau pour chacun d’entre nous et un jour nous devrons la remettre. Peut-être que les fins de cycle nous préparent un petit peu chaque jour à cette fameuse grande perte que nous aurons tous à vivre un jour. Parce que même en étant une âme sur le départ du grand voyage, je suis pas mal certaine que nous aurons à vivre le deuil de notre vie terrestre. Et tout aura alors été une question de préparation.

Pour ceux qui ne le savent pas, je suis légèrement fan d’un chanteur israélien qui se nomme Asaf Avidan. Un jour, sa blonde l’a quitté sans qu’il s’y attende. Ça a été tout un trauma pour lui et lui a inspiré une chanson qui l’a fait connaître dans le monde entier (« reckoning song »). Voici les mots qu’il a partagés (traduits et adaptés par mes soins) à son public lors d’un concert en Grèce pendant la fameuse chanson :

« Le secret n’est pas de succomber à la dépression à cause de la perte (de quelqu’un ou quelque chose). Parce que cette perte crée une caverne en toi, dans ton paysage intérieur. Et cette caverne est la plus belle place au monde pour toi, pour aller y prendre une petite marche. Laisse parler cette caverne, écoute-la, va la voir. C’est une autre belle façon de se promener. »

Soyons préparés pour la fin et certains que l’avenir n’en sera que plus beau. La perte n’est pas une punition. Elle est ce qui doit être. Pour nos cheminements intérieurs à tous.

Merci mes amis.

J’ai hâte de me connecter à vous en vrai.

Aimez, commentez, partagez sur ma page Facebook, faites fonctionner l’algorithme !!! (4) Facebook.

Avatar de Marion Séguy

Published by

Categories:

Laisser un commentaire